[September 1767]
Je vous prie, mon cher ami, de presser un peu l'édition du siècle de Louïs 14.
Toutes les anecdotes que j'ai reçues de la cour et du dépôt des affaires étrangères rendront cet ouvrage nécessaire à quiconque voudra s'instruire, et j'ose croire que je le ferai entrer en France sans aucune difficulté. Je vous réponds du moins d'y donner tous mes soins. Je voudrais bien que vos affaires eussent pu s'accommoder. Comptez que cette longue dissention déplait beaucoup à un aussi bon voisin que je le suis.