Acte 1er, Scène 3e
SOZAME
Je mourrais trop content si ma chère ObeideHaïssait comme moi cette cour si perfide.Poura t-elle en éffet penser dans ses beaux ansAinsi qu'un vieux soldat détrompé par le temps?Tu connais cher ami mes grandeurs éclipsées,Et mes soupçons présents, et mes douleurs passéesetca.Acte 4e, Scène 6e
Dans un même sépulchre enferme nous tous deux.SOZAME
Trois amis y seront, ma douleur te le jure.Mais déjà l'on s'avance, on venge nôtre injure;Nous ne mourons pas seuls.HERMODAN
Je l'espère; j'entendsNos tambours, nos clairons, les cris des combattans,Nos Scithes sont armés — dieux punissez les crimes!Que les cœurs innocents ne soient plus vos victimesAiez pitié d'un pèreetca
La tête me tourne de toutes ces éditions. Il y a pourtant cinquante ans que j'en use ainsi. Tout celâ se débite; au moins chez les épiciers.
Dites moi donc, je vous en prie, si c'est en effet l'abbé Fouchet qui est l'auteur du suplément à la philosophie de l'histoire.
15e May 1767
Plus — Acte 3e, Scène 3e, 4e vers,
Dans nôtre obscur azile on voit ce qui l'amêne.
corrigez
Dans nôtre heureux azile on voit ce qui l'amêne.