1767-04-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à Henri Rieu.

Mon cher duc de Bellegarde est supplié de m'envoyer la première épreuve de Pellet.
Il y a quatre vers à ajouter à la seconde scène, ce qui demandera un petit remaniement. Nous n'avons point de temps à perdre; il est à craindre que cet ouvrage ne soit imprimé à Paris sur quelque mauvaise copie.

Si monsieur le duc sait quelque nouvelle du captif il me fera plaisir de me l'apprendre. Toute la maison de madame la comtesse de Givri lui fait bien des compliments.