21e xbre 1765 à Ferney
Je vous prie de me renvoier, Monsieur, la consultation des avocats de Paris, dont je n'ai point de copie.
Je ne sai s'ils auront rencontré juste, mais je puis vous répondre qu'ils ont agi comme moi avec la plus grande impartialité et l'amour le plus sincère de la justice. Vous m'êtes témoin que dans nos conversations je ne vous ai jamais marqué d'autres sentiments; ce sont ceux de Mr Hénin. Je me flatte qu'il raprochera des magistrats et des citoiens vertueux, que quelques mal entendus ont désunis, et que l'amour de la patrie conciliera.
V. t. h. o. sr
V.