Ferney, 28 7bre 1765
Aimable fils de Jean, petit-fils de Jean, tous deux grands hommes, je n'ai jamais dit à m. le marq. de Prie que ce que je dis à tous les étrangers qui passent par Bâle; je les supplie de dire à m. votre père combien je le respecte; j'ajouterai dorénavant que je le félicite d'avoir un fils tel que vous.
Je vous prie d'être persuadé de tous les sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'être
Monsieur
Votre t. h. & t. ob. servr
Voltaire