16e Juill: 1764 à Ferney
Je vous suis bien obligé, mon très cher voisin, des bonnes nouvelles que vous voulez bien me donner de Stutgard.
Celles des receveurs ne sont pas si bonnes, mais il faut espérer que tout le monde arrangera ses affaires, puisque le Roy de France arrange les siennes. Mille tendres respects, je vous en prie, à Made Constant et à Made Pictet quand vous lui écrirez. Tout Ferney vous embrasse de tout son cœur.