1763-09-12, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Manoël de Végobre.

Eh bien, Monsieur, douterons nous à présent que messieurs de Toulouse admettent des quarts de vérité?
Plût à Dieu qu'ils n'eussent fait qu'un quart d'injustice!

J'ai écrit à Mr le Mal de Richelieu, le plus fortement que j'ai pu, en faveur de Mr Carbon. Je puis vous répondre de la protection de mr le Mal. Que faut-il de mieux? Je lui fais bien des compliments.

Comptez que je vous suis attaché pour ma vie avec les plus respectueux sentiments.

Voltaire