1761-10-16, de Voltaire [François Marie Arouet] à Louise Suzanne Gallatin.

Je voudrais madame me porter assez bien pour être un de vos garçons vendangeurs.
Je suis d'ailleurs entièrement à vos ordres. Vraiment je vous seraitrès obligé de permettre que mon jardinier prenne chez vous quelques rejettons de ces excellents figuiers. Il y a bien longtemps que nous n'avons eu l'honneur de manger avec luy les fruits de nos jardins.

Permettez que j'insère dans ce paquet une lettre pour Louis Corbot.

V. t. h. ob. s.

V.