1760-11-12, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Augustin Feriol, comte d'Argental.

Il est vrai mon cher ange que dieu a voulu qu'il grasseiât, mais il joue tout avec vérité, avec chaleur, il est doux, sociable, conciliant, il doublera tout, il ne se refusera à rien.
Voyez s'il mérite votre protection par son talent, autant que par ses mœurs. Il a vu Fanime. Il vous dira des nouvelles de mon tripot. Mes respects à celui de Paris.

V.