1760-08-24, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Robert Tronchin.

Mon nez remercie monsieur Tronchin, mon cœur aussi.

Ma bourse est vide.
S'il peut m'envoyer 500£s dans une quinzaine, ce sera pour le courant, je tirerai sur luy les grosses parties à mesure, ou sur m. Cathala.

Bon voiage, du plaisir, de l'argent et la paix.

T. h. ob. str

V.