1760-08-05, de Jean François Marmontel à Voltaire [François Marie Arouet].

 . . . Je suis allé voir l'Ecossaise. Vous ne sauriez croire combien sur le théâtre le spectacle en est vrai, l'action vive et intéressante; on pleure comme à Zaïre, et aplaudi des pieds et des mains. . . . Fréron en a un peu souffert. Béni soit le talon qui a écrasé cette chenille et tant d'autres insectes dont Paris est infecté. . . .