1760-05-05, de Charles Theodore von Sulzbach, Elector Palatine à Voltaire [François Marie Arouet].

Je vous suis très obligé, monsieur, de m'avoir envojé Les deux chants de la pucelle que j'ai lu avec bien de L'empressement de même que tout ce que vous écrivéz; vous me faite un bien sensible plaisir de m'apprendre que votre santé et Le fameux Tronchin vous permettront de venir chez celui qui aime et admire une personne d'un mérite, comme le petit suisse le possède.

CTEP