au châtau de Tourney par Geneve 21 avril [1760]
Son stato sul’ punto di fare come il povero Pieron.
On m'a dit mort. Cela n'est pas entièrement vrai. Je compte mon cher Colini que vous deviendrez nécessaire à S. A. E. Plus vous l'approcherez plus elle vous goûtera. Je vous adresse ma lettre pour luy. Je suis encor bien mal. Si mes forces reviennent j'iray à Shwetzing. Je ne veux pas mourir sans avoir encor vu le plus aimable et le meilleur des souverains. Il y a un Français nommé mr de Caux qui a écrit à ma nièce de Manheim. Je porterai si je peux la réponse.
Je vous embrasse.
V.