1760-04-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à Cosimo Alessandro Collini.

Son stato sul’ punto di fare come il povero Pieron.
On m'a dit mort. Cela n'est pas entièrement vrai. Je compte mon cher Colini que vous deviendrez nécessaire à S. A. E. Plus vous l'approcherez plus elle vous goûtera. Je vous adresse ma lettre pour luy. Je suis encor bien mal. Si mes forces reviennent j'iray à Shwetzing. Je ne veux pas mourir sans avoir encor vu le plus aimable et le meilleur des souverains. Il y a un Français nommé mr de Caux qui a écrit à ma nièce de Manheim. Je porterai si je peux la réponse.

Je vous embrasse.

V.