1760-01-25, de Voltaire [François Marie Arouet] à Louis Gaspard Fabry.

Monsieur,

Je n'ai que le temps, et j'ai à peine la force, étant très-malade, de vous envoyer le mémoire ci-joint.

L'avanie que nous essuyons est inouïe, et l'insolence des commis bien punissable. Nous attendons tout de vous.

Votre très humble et obéissant serviteur

Je suis trop malade pour les cérémonies. Vous aurez nécessairement, monsieur, des nouvelles de m. de la B.

Vous êtes supplié d'envoyer copie de notre déclaration au subdélégué général.

Voltaire De tout mon cœur