1756-03-08, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jacob Vernes.

Je supplie Monsieur Vernes de vouloir bien me prêter le tome de la bibliotèque britannique dans lequel il est parlé des lettres du comte Davaux, et de l'argent que ce ministre donnait libéralement aux députez désintéressez de leurs hautes puissances.
Je lui serai très obligé

V.