1755-09-12, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Defresnay.

Nouvelles faveurs que je vous demande aussi bien qu'à madame votre mère à qui je fais mes très humbles compliments. Favorizez mon cher monsieur ma petite correspondance allemande. Goûtez d'ailleurs de vrayes délices. Ma retraitte en a le nom, possédez la chose. Elle est faitte pour vous.

La république de Geneve m'a donné à la signature de mon contract, qui était très difficile à faire, les témoignages les plus singuliers de bienveillance. Made Denis vous fait mille compliments.

V.