1753-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Defresnay.

J'abuse terriblement de vos bontez mon cher et aimable correspondent, comment pourez vous faire pour adresser ce paquet au père de Menou à Nancy?
Ne peut on pas l'envoyer par les diligences? En ce cas je vous supplie d'avoir la bonté d'avancer les frais du port? Je n'ose vous demander de le faire partir par le grand courier. Je vous renouvelle ma tendre reconnaissance, et mes respects à madame votre mère.

V.