1753-07-01, de Voltaire [François Marie Arouet] à Johann Erasmus von Senckenberg.

Je vous demande mille pardons monsieur de la liberté que prend ma pauvre nièce.
Pardonnez à une pauvre femme en larmes. Je suis bien loin de pouvoir être dans votre voisinage. Je suis très malade. Si je peux me traîner demain chez vous j'iray vous remercier de touttes vos bontez et vous en demander la continuation.