1752-10-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à conte Francesco Algarotti.

Obligé de corriger demain les sottises de mon libraire de Paris, et les miennes, et d'envoyer après demain les susdittes corrections, je prie M. le comte Argaloti de me prêter mes guenilles que je luy reprêteray dès que je seray revenu de Charlotembourg.
In tanto la riverisco e le baccio di cuore le mani.

V.