[October/November 1751]
Monsieur de Rotembourg madame vous remercie de vos attentions.
Pour moy je vous assure que je suis aussi digne de vos bontez que Monsieur Darnheim. Mes maux valent bien une paralisie. Je reconais les attentions charmantes de votre amitié à la peine que vous avez bien voulu prendre de confirmer à mylord Tirconel les assurances de l'intérest que nous prenons tous icy à sa santé. S'il a autant de zèle pour vos affaires que vous luy en témoignez pour sa convalescence vous obtiendrez un heureux succez. Je vous jure que je m'y intéresse plus que vous n'aimez les malades.
V.