1751-01-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charlotte Sophia van Aldenburg, countess of Bentinck.

Je vous remercie madame de touttes vos bontez en allemand et en français.
Si je ne soufrais pas actuellement comme un chien je viendrois mettre à vos pieds touttes les Adelaïdes du monde. Non, non je ne vous crois pas scélérate mais je tiens pour bélitres ceux qui s'opposeront à vos volontez. Je voudrais passer ma vie à leur obéir.

V.

Je vous porteray cette pauvre Adelaïde dès que je pouray remuer.