[January/February 1751]
Je vous remercie madame de touttes vos bontez en allemand et en français.
Si je ne soufrais pas actuellement comme un chien je viendrois mettre à vos pieds touttes les Adelaïdes du monde. Non, non je ne vous crois pas scélérate mais je tiens pour bélitres ceux qui s'opposeront à vos volontez. Je voudrais passer ma vie à leur obéir.
V.
Je vous porteray cette pauvre Adelaïde dès que je pouray remuer.