1745-01-01, de Voltaire [François Marie Arouet] à Nicolas Claude Thieriot.

Je vous renvoye la prose de M. le mal de Shmettau, mais je n'ose encor y ajouter mes vers.
Je deviens plus difficile de jour en jour sur mes faibles ouvrages, et le divertissement du mariage de M. le dauphin me prend toutte ma pauvre âme dont L'étuy est plus malade que jamais au moment que je vous écris. Ah mon ancien amy, une bonne digestion vaut mieux que de bons vers.

V.