1742-08-11, de Guillaume François Joly de Fleury à Claude Henri Feydeau, comte de Marville.

…On a parlé ce matin, monsieur, dans une chambre du parlement, d'une comédie où quelques-uns des messieurs ont été, et qu'ils disent contenir des choses énormes contre la religion.

Je suis, etc.

Joly de Fleury