1740-12-01, de Voltaire [François Marie Arouet] à conte Francesco Algarotti.

Adio ameno savio, adio caro signore che non si ricordera piu di me, adio, vezzoso cortegiano d'un re degno desser servito da luy.
Je vous recomande monsieur des Mollars, et je pars avec bien du regret. On ne sauroit être plus fâché.