1728-12-01, de Sir Everard Fawkener à Voltaire [François Marie Arouet].

. . . Je suis ici comme vous m'y avez laissé, ni plus gai, ni plus triste, ni plus riche, ni plus pauvre, jouissant d'une santé parfaite, aïant tout ce qui rend la vie agréable, sans amour, sans avarice, sans ambition & sans envie, & tant que tout cela durera, je m'apellerai hardiment un homme très heureux. . . .