[? c. 10 October 1723]
Mon cher Tiriot, envoiez moy mes lettres dans une envelope à Vilars.
Je reviendrai bientôt vous retrouver. Je croi que Marianne sera avec un peu de soin digne de l'amitié que vous avez pour l'autheur. Je ne soufrirai pas qu'elle soitjouée sans que vous ayez les grandes entrées dans monlouvres, ce sera une nouvelle facilité de me trouver souvent avec vous; et cette raison est aussi forte pour moi que la petite utilité que vous y pouvez trouver.
Renvoiez les journaux, songez à Henri, et aimez François.