1722-08-10, de Voltaire [François Marie Arouet] à Nicolas Claude Thieriot.

Mon cher Tiriot, le plaisir de voiager avec madame de Rupelmonde ne m'empêche point de songer dès le premier gîte à vous remercier de tous les soins obligeans que vous prenez pour moy.
J'aurai mon tour quelque jour je vous en répons et j'en ferai tout autant. Envoiez moy la lettre de Gaudin pour ce banquier, et pour sa femme, et des nouvelles. Adressez votre lettre à Bruxelles chez mr le comte de Morville, plénipotentiaire.