1827-08-04, de Abbé Philippe Gerbet à Monsieur le Comte de Senfft.

Le dernier bulletin annonçait que le médecin avait déclaré que le cher malade était hors de danger. Cette heureuse assurance n'a fait que se confirmer de plus en plus; la convalescence fait des progrès : il ne s'agit plus que de suivre un régime graduellement fortifiant; mais comme les forces avaient été affaiblies au dernier degré, la convalescence peut être longue.

Jusqu'ici, occupé dans la chambre du cher malade, je n'ai pu donner que de courts bulletins : bientôt j'aurai le temps d'entrer dans des détails bien édifiants.

M. l'abbé Jean présente, ses respects à M. le comte et M"" les comtesses de Senfft : j'y joins les miens. »