Je t’envoie un bar que je viens de recevoir à l’instant. J’aurais eu le plus grand plaisir à te prier de venir le manger chez moi, mais je suis dans des affaires jusqu’au cou pour le placement et la terminaison de mon travail et la moindre distraction je me l’interdit. En second lieu, j’ai l’estomac en mauvais état et je suis forcé à un régime qui me privera même d’aller en manger dans ta société. Fais-le cuire le plus tôt possible, ce soir si tu peux ; car quoiqu’il soit frais, pour le quart d’heure, le temps est mou et un court-bouillon est bientôt fait. Dans des temps plus heureux nous nous réunirons et trinquerons à notre santé commune.