1775-12-06, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Mon cher ami, permettez que je vous donne part de l'heureux affranchissement que j'ai enfin obtenu pour ma nouvelle petite patrie.
Nous n'aurons plus affaire aux commis de la ferme générale, à commencer du 1er janvier. J'en souhaitte autant à Messieurs de Lyon, et à tous vos amis.

Je recommande à vos bontés les incluses.