à Ferney 7e juillet 1773
Messieurs,
Agréez mes remerciements de l’argent que vous avez bien voulu me faire paier.
J’ose vous prier d’ajouter à vos bontés et à vôtre justice celle d’ordonner le paiement des six mille deux cent Livres qui sont échus le dernier de juin, et qui terminent entièrement à ce que je crois, l’affaire des cent cinq mille Livres. Je ne doute pas d’ailleurs que le sr Rosé ne soit ponctuel à remplir ses autres engagements.
J’ai l’honneur d’être avec une respectueuse reconnaissance
Messieurs
Vôtre très humble et três obéissant serviteur
Voltaire