1773-06-03, de Voltaire [François Marie Arouet] à Henri Rieu.

On dit, mon très cher corsaire, qu’il y a chez Monsieur Gaussen, un fils du Colonel Lawrence.
Vous pourriez peut être me procurer par lui la lecture des mémoires de Mr son père. Si on les trouve chez les libraires de Genêve, je vous aurais mille obligation de me les acheter.

Le vieux malade, qui vous aime de tout son cœur, vous demande pardon de vous importuner.