28e juin 1768, à Ferney
Mon cher corsaire, je n'ai pas de mauvaises nouvelles à vous aprendre de Versoi.
Si vous passez par nos cantons quand vous aurez fait vos foins je vous dirai bien des choses.
Je vous prie instamment de vouloir bien demander à Mr Gaussen s'il a eu la bonté de faire parvenir en Angleterre les petits paquets que j'ai pris la liberté de lui envoier. Il me fera un sensible plaisir.
Je vous embrasse bien tendrement.
V.