A Fernex 1er juin 1773
Je remercie bien sensiblement ces messieurs qui m’ont envoyé cette biche.
Je la conserverai tant qu’elle et moi nous vivrons et je m’intéresserai toujours à leur juste cause. J’espère qu’on leur rendra justice. Je sais combien ils la méritent. Je les prie de compter entièrement sur mon amitié.
Voltaire