1773-02-01, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jacques Lacombe.

J’ai recours à vous, mon cher ami, dans les grandes occasions.
Je vous prie instamment de faire insèrer cette petite déclaration dans vôtre mercure. Il me parait que vôtre confrère Valade n’est vôtre confrère ni en esprit, ni en probité. C’est à vous de me faire justice de toutes façons.

Conservez un peu d’amitié de vôtre très attaché, très humble, très ob: sr

V….

Envoiez moi je vous prie la feuille où maitre Aliboron dit Freron parle des loix de Minos. Je vous serai très obligé.

V.