1773-01-14, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Louis Claude Marin.

Je vous resouhaitte la bonne année, mon cher ami, que je n’ai jamais vu, et que probablement je ne verrai jamais, mais que j’aime parce que vous êtes franc et sincère.

S’il y a quelque chose de nouveau sur le cocher Gilbert, et sur le vérolé Aubriot je vous prie de m’en régaler.

Je vous demande la grâce de faire passer l’incluse à l’auteur de la réponse d’Horace, et de m’envoier un petit paquet que j’attends de lui.

Sçavez vous quel est le commis à la phrase qui donne des aprobations tacites aux Clémentines? Vous devriez bien me mettre au fait de ces coyoneries pour m’amuser. J’en entends parler et je n’ai rien vu.