1771-12-25, de François Louis Claude Marin à Voltaire [François Marie Arouet].

Grand Merci, Monsieur, de la pièce que vous venés de m’envoyer.
Elle est Courte, et bonne, et comme il la faut.

Je n’ai pas entendu dire qu’on travaillât à revoir l’affaire de M. de Lally; mais Je suis persuadé que si la famille se donnoit des mouvements on viendroit peut-être àbout de reformer ce Jugement inique.

J’ai écrit pour avoir la réponse de m. de Bombelles à la lettre de l’Ecole Royale militaire, et dès qu’on me l’aura envoyée Je vous la ferai parvenir.

Je viens d’expédier toutes vos dépêches.

Adieu, monsieur, vous Connoissez mon attachement respectueux pour vous.

Marin