1770-08-25, de Voltaire [François Marie Arouet] à François de Caire.

J'ai encor recours à vous, Monsieur, pour faire passer un faible secours à un infortuné malgré ses torts.
Je ne sais comment m'y prendre, ni si la poste voudra se charger de mon paquet à Mr de Chatelanaz. Je ne puis qu'implorer vos bontés.

Agréez, Monsieur, les tendres respects du vieux malade, et très malade

V.

Je me mets aux pieds de madame De Caire tout indigne que j'en suis.