[c. 10 November 1768]
Mon cher éditeur je vous envoie à tout hazard cette correction qu'il est bien nécessaire de mettre dans l'errata du siècle de Louis 14.
J'en envoye un double à votre associé de Paris. Cette faute est si énorme, et si remarquée, qu'on ne peut se dispenser au moins de la corriger dans l'errata. Sans quoy l'ouvrage qui d'ailleurs est très véridique serais d'écrié pour cette seule faute. J'avais fait un relevé de plusieurs autres fautes de la grande édition. Mais vous n'êtes pas venu me donner la séance que vous m'aviez promise. J'attends des feuilles. Songez qu'on meurt souvent en attendant.