1768-03-23, de Voltaire [François Marie Arouet] à Étienne Noël Damilaville.

Cette lettre est pour m. d'Alembert et pour vous.
Je demande le secret à l'un et à l'autre. Si la stance d'une certain ode courait, vous sentez quelles suites horribles elle pourrait avoir. J'ai tout lieu de craindre qu'on nait pris le manuscrit avec le second chant. Mais il faut sagesse et silence.