6 mars 1768
Mon cher ami, je vous supplie de me mander d'abord à quoi en sont vos affaires.
Ce premier devoir de l'amitié rempli, je vous prie d'envoyer à m. d'Alembert la lettre-ci-jointe après l'avoir cachetée et de faire tenir à made Delaharpe le paquet qui lui est adressé.
En vérité nous devrions bien nous arranger pour vivre ensemble, nous ne laisserions pas de faire quelque bien. C'est bien dommage que nous soyons à cent lieues l'un de l'autre. Interim Ecr. l'inf. Mon âme embrasse tendrement la vôtre.