6 jer 1766
Je prie instamment, mon cher frère, de faire mettre ces trois vers-ci:
A vu sans s'alarmer qu'on t'adressât des vœux,
Elle même avec nous t'eût rendu cet hommage.
Tu l'as trop mérité; c'est toi, c'est ton courage …. &a
à la place des trois qui commencent ainsi:
N'entend point nos regrets, n'exauce point nos vœeux…. &a
Je lui aurai une très grande obligation. Je ne veux me brouiller ni avec ste Genevieve ni avec ses moines.