1766-01-06, de Voltaire [François Marie Arouet] à Étienne Noël Damilaville.

Je prie instamment, mon cher frère, de faire mettre ces trois vers-ci:

A vu sans s'alarmer qu'on t'adressât des vœux,
Elle même avec nous t'eût rendu cet hommage.
Tu l'as trop mérité; c'est toi, c'est ton courage …. &a

à la place des trois qui commencent ainsi:

N'entend point nos regrets, n'exauce point nos vœeux…. &a

Je lui aurai une très grande obligation. Je ne veux me brouiller ni avec ste Genevieve ni avec ses moines.