[?21 November 1765]
Vous savez monsieur que les mauvais propos ne doivent pas empécher les bonnes actions.
Je n'ay et ne puis avoir d'autre but que la liberté et la concorde de mes voisins. Je ne feray rien qu'au grand jour, et je me flatte que Monsieur le duc de Pralin approuvera ma conduitte.
Vous m'avez trouvé droit et sincère, vous me trouverez toujours tel. Ce n'est point en secret que je reçois l'honneur de vos visites. Vous pouvez venir sans scrupule, comme je fais gloire de m'entretenir avec un homme de votre mérite et avec des amis qui vous ressemblent.
Mon carosse attend vos ordres.