1764-11-28, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Nous ne savions pas, mon cher ami, que vôtre Eresipelle avait eu des suittes, et que vous eussiez gardé la chambre si longtemps; nous aurions envoié chez vous maman et moi; nous n'apprenons vôtre maladie que quand vous en êtes quite. Pardonnez aux pauvres campagnards qui ne savent pas ce qui se passe dans le monde; et recevez les tendres compliments de toute la maison.