7e 9bre 1764
Le pauvre aveugle, vous prie, mon cher Colini de présenter ce paquet à S: A: E: et d'assurer Mr de Schœpflin de mes très humbles et très tendres obéïssances.
Vous devriez bien me dire comment mon ami Fréron a été reçu? s'il a mangé avec L'Electeur, et me dire entièrement ce que vous ne m'avez dit qu'à moitié dans vôtre avant dernière Lettre. Je vous embrasse de loin, et certainement je vous embrasserai de près l'été prochain, si j'ai des yeux.