1764-10-19, de Voltaire [François Marie Arouet] à Cosimo Alessandro Collini.

Mon cher ami si le zèle peut donner des forces, je viendrai assurément vous embrasser avant de mourir.
Je vous adresse cette lettre pour votre adórable maitre. Avez vous encor Fréron chez vous? Nous devons être luy et moy comme Castor et Pollux, nous ne devons pas paraître sur le même Emisphère.

Evviva mio caro.