[?May 1764]
Un homme de la famille Vade doit depuis longtemps une lettre au Ciceron qui prend toujours en main la cause des malheureux et de l'humanité.
Mais ce Vadé a été bien malade. Il profite monsieur d'un petit rayon de santé pour vous dire combien il estime votre manière de penser et d'écrire, et combien il respecte votre personne. Je ne vous appelle pas Ciceron sans de très bonnes raisons. Vous joignez comme luy la philosophie à l'éloquence. Puissent tous vos confrères et tous les juges vous ressembler. Il n'y aurait plus de Welches. Daignez mettre je vous prie au rang de vos amis votre très humbl ob. sert
V….