1763-08-13, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Comme c'est à vous monsieur que je dois la lettre de Monsieur Gilli, je crois vous devoir la réponse.
Je vous l'envoye à cachet volant. Je voudrais qu'elle vous amusât. Je voudrais surtout que vous voulussiez bien m'en dire votre avis. Mais vous nous négligez: nous ne vous voyons pas venir une fois en trois mois sur votre petit cheval.

Bon jour mon cher maître.

V.