27 août 1762
Madame Denis qui est un peu malade ne saurait avoir l'honneur d'écrire à m. de Monthou; il est supplié de vouloir bien avoir la bonté de lui mander quand il pourra lui envoyer de l'avoine.
On s'arrangera avec m. le baron de Monthou comme par le passé. M. de Voltaire tiendra compte de cette avoine sur ce que m. de Monthou peut lui devoir.
Je présente mes respects à monsieur et à madame de Monthou.
Voltaire