1762-02-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à Sébastien Dupont.

Mon cher Dupont, je vous plains bien d'être où vous êtes, vous avez trop d'esprit pour être heureux à Colmar.
Que n'êtes vous à la place des sots dont Paris abonde! Vous nous en déferiez.

Voici deux petits rogatons pour vous amuser. C'est tout ce qu'on m'a envoyé de plus nouveau. Adieu; croyez bien fermement que je vous aimerai toute ma vie.

V.